Par amour du voyage et de la planète, 360tourisme aide ses clients à adopter une communication touristique plus durable en France. Le tourisme peut et doit avoir un impact positif, améliorer durablement la vie des Locaux tout en inspirant les Voyageurs.
Nos engagements
Pour nous, l’industrie touristique est une incroyable opportunité pour stimuler le développement économique, social et écologique. Le tourisme permet de protéger des écosystèmes uniques, de soutenir les communautés locales et de transformer les voyageurs en leur faisant découvrir l’Autre et l’Ailleurs.
360tourisme s’applique à mettre en pratique la charte du tourisme durable établie lors de la Conférence mondiale du Tourisme durable à Lanzarote en 1995. Concrètement ça signifie…
En interne
Nous savons que promouvoir un tourisme responsable commence par notre propre fonctionnement. C'est pourquoi nous mettons en place les engagements suivants :
En arrivant chez 360tourisme, nous suivons les recommandations de GreenIT et des labels comme Ademe.fr...
Lire plus- Matériel pro : on a un ordi portable plutôt qu’un fixe car cela consomme 50 à 80% de moins. On en prend soin et on l’utilise jusqu’au bout. On le répare, le recycle ou le donne à des associations comme Recycléa avant de le remplacer. On privilégie le seconde main grâce à des entreprises comme BackMarket.
- Paramètres ordi : on programme une veille dès 5 minutes de non utilisation (sans économiseur d’écran animé) et on éteint les ordinateurs chaque soir. On diminue la luminosité des écrans, on sauvegarde ses données en externe, on n’accepte que les mises à jour correctives de logiciel pour éviter de ralentir ses outils, et on prend soin des outils numériques pour prolonger leur durée de vie (la housse adaptée fournie par 360tourisme évite les chocs et la détérioration des composants).
- Recherches web : on paramètre le moteur de recherche écolo Ecosia ou Lilo : ils financent gratuitement des projets sociaux et environnementaux.
- Favoris : on créé une liste de favoris pour éviter les recherches moteur intermédiaires, et on ferme les onglets qu’on n’utilise plus pour éviter les réactualisations inutiles.
- Emails :
- Ils consomment beaucoup d’énergie alors on réfléchit à leur pertinence : en interne, on privilégie la communication orale ou on apporte le document sur clé USB (c’est aussi plus convivial). En externe, pour se comprendre, un coup de fil suffit parfois et s’avère même souvent plus efficace et rapide qu’une suite d’emails.
- On adapte la liste des destinataires selon l’utilité pour chaque personne de le recevoir (l’envoi de courriels pollue même si c’est invisible).
- On limite les pièces jointes : En interne, on a tous accès au même réseau, alors on privilégie les liens vers le dossier où est stocké le fichier que vous désirez partager. En externe, on privilégie les documents légers comme des PDF basse définition, on utilise WeTransfer ou une autre solution de transmission de fichier pour les documents lourds.
- On supprime immédiatement les emails inutiles (newsletters dont vous avez consommé l’info ou gardé les liens des articles intéressants dans votre document de veille…) et les spams (vous avez un logiciel antispam installé sur l’ordinateur). On vide régulièrement sa boîte de courriers envoyés et supprimés.
- Signatures d’email : on en crée 1 sans logo pour l’interne et les contacts connus, et 1 avec logo pour l’externe et les nouveaux destinataires.
- Infolettres : on se désabonne des infolettres non désirées.
- Disque dur : on stocke le plus de données localement sur le disque dur de son ordinateur, dans la mesure où ça n’empêche pas la collaboration avec vos collègues. Moins vous sollicitez le réseau ou le cloud, moins les serveurs consomment d’énergie.
- Cartes d’affaires : on en a une digitale avec QR code pour inviter nos partenaires à flasher plutôt que de récupérer une carte physique et donc en imprimer moins.
Au cours de notre activité chez 360tourisme...
Lire plus- Site web : éco conçu et hébergé en France chez OVH.
- Télétravail : on limite nos déplacements pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la qualité de l’air.
- Visioconférences : avant d’organiser un événement physique, on privilégie les visios qui économisent du temps et des émissions.
- Déplacements pros : quand il faut se déplacer (journée complète de rendez-vous, résultat significativement supérieur à celui d’un rendez-vous virtuel, etc), on mise sur l’écomobilité : à pied (10 000 pas / jour pour rester en bonne santé), à vélo ou en transports en commun, chaque geste compte.
- Eau : on remplit une gourde plutôt que d’acheter des bouteilles en plastique, et on fait attention aux robinets qui coulent inutilement, toilettes à double chasse d’eau, etc.
- Électricité : ampoules LED, extinction des lumières inutiles et ordinateurs éteints chaque soir. Petits gestes, grand impact.
- Chauffage et climatisation : température à 19°C l’hiver (on coupe le chauffage lors des 10 minutes d’aération quotidienne le soir), on dégage tout ce qui gêne la circulation de l’air et on calfeutre les zones de déperdition d’énergie. L’été, on aère le bureau chaque matin puis on bloque la lumière et la chaleur. Si besoin, on utilise un ventilo plutôt qu’une clim.
- Plantes dépolluantes : on s’en entoure pour rendre son bureau plus agréable, réduire le stress et booster la productivité.
- Fait-maison, local et bio : on privilégie les traiteurs éco-responsables et les couverts réutilisables.
- Tri et déchets : le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas, sinon on trie tout ce qu’on peut.
- Musique : on télécharge la musique qu’on écoute ou on utilise des sites comme Deezer, Spotify et YouTube plutôt que le streaming qui sollicite les serveurs à chaque écoute.
- Ordi : Une fois par trimestre, on désinstalle les logiciels et applications qui ne nous servent pas. Tous les ans, on dépoussière l’ordinateur, supprime les données obsolètes et défragmente le disque dur pour retrouver des performances optimales.
- Impressions : on se demande si imprimer est nécessaire (on signe électroniquement…), si ça l’est on privilégie en noir et blanc, en mode eco ou brouillon, en recto/verso et avec du papier recyclé ou labellisé depuis un appareil multifonction (imprimante + photocopieur + scanner) qui consomme jusqu’à 50% de moins que les trois qu’il remplace. On réduit la taille des marges et on supprime les éléments inutiles de la zone d’impression. On choisit une police de caractère économe en encre (comme Garamond, Ryman Eco et Ecofont qui se téléchargent). On utilise du papier brouillon pour les impressions peu importantes et on utilise un logiciel comme PrintFriendly pour supprimer les infos inutiles des pages web (pub…). On utilise des ramettes de papier recyclé ou labellisé Forest Stewardship Council (FSC) ou Programme for the Endorsement of Forest Certification schemes (PEFC), venant de forêts gérées durablement, et on recycle les cartouches d’encre et toners vides.
- Fournitures : on évite les stocks inutiles et on fait signe quand on a besoin de quelque chose pour qu’on puisse vous le commander. On préfère les fournitures rechargeables et des fournisseurs écoresponsables comme EcoBuro et UnBureauSurLaTerre (sinon petits commerces locaux).
- Cadeaux d’entreprise / goodies : s’ils ont du sens, on en choisit des utiles (carnet, gourde isotherme, boîte à repas, sac réutilisable…), éco conçus (en carton, stylo plume…) voire immatériels (places de spectacle, bons pour des stages d’initiation à une activité manuelle/artisanale…).
- Engagement : 360tourisme encourage la participation de ses collaborateurs aux événements liés au tourisme responsable (cf Universités du Tourisme Durable des Acteurs du Tourisme Durable -ATD) et verse une partie de sa taxe d’apprentissage (13%) à un institut d’éducation motrice pour les personnes en situation de handicap.
En externe
360tourisme soutient les pratiques responsables dans ses collaborations avec les fournisseurs et prestataires, les médias et l’industrie du tourisme...
Lire plus- Sous-traitants : on privilégie ceux engagés dans une démarche responsable (cf traiteur zéro déchet, coursiers à vélo… partenaires membres de la communauté ATD)
- Imprimeur : on s’assure qu’il est engagé dans une démarche éco-responsable qui utilise des encres végétales. On bannit le pelliculage qui est une couche de plastique. On imprime moins de cartes d’affaires grâce à une version digitale avec QR code.
- Événements : on choisit un lieu proche des transports en commun, on éco-conçoit les stands (matériaux recyclables ou revalorisables, location de mobilier…), on mandate un restaurateur bio et local, et on gère les déchets (plutôt une vaisselle lavable ou en carton qu’une en plastique à usage unique).
- Alignement : on privilégie les partenariats alignés avec notre vision, qui mettent en avant des produits et expériences durables, et on met notre énergie au service de projets qui ne promeuvent :
- pas de séjours long-courrier de moins de 5 nuitées
- pas de lieux de captivité pour des êtres vivants (zoos, aquariums…) hors exceptions culturelles (refuges d’espèces endémiques, rodéos…)
- pas d’activités blessant des êtres vivants à titre de loisir (chasse & pêche récréative, catch & release inclus) vs survie (cf tourisme autochtone)